Le designer libanais Carlo Massoud vit et travaille à Beyrouth. Le trentenaire est devenu l’un des représentants de cette génération de créateurs élevée sur les ruines de la guerre civile. Il y a dans le travail de Carlo Massoud un ‘’message social’’, comme une volonté de bousculer les consciences. Le designer se plait à travailler la matière pour interroger le monde qui nous entoure. Carlo Massoud aime la matière plus que l’objet. Quand il ne travaille pas l’alliage de cuivre et de zinc, il expérimente le bronze, le bois, ou encore explore la céramique...
Le designer libanais Carlo Massoud vit et travaille à Beyrouth. Le trentenaire est devenu l’un des représentants de cette génération de créateurs élevée sur les ruines de la guerre civile. Il y a dans le travail de Carlo Massoud un ‘’message social’’, comme une volonté de bousculer les consciences. Le designer se plait à travailler la matière pour interroger le monde qui nous entoure. Carlo Massoud aime la matière plus que l’objet. Quand il ne travaille pas l’alliage de cuivre et de zinc, il expérimente le bronze, le bois, ou encore explore la céramique avec sa sœur Mary-Lynn. Le tout en collaboration avec une palette d’artisans qui lui transmettent leur connaissance des matériaux.‘’J’ai toujours rejeté la machine, j’aime le fait-main et cette belle imperfection qui le caractérise’’, concède-t-il. L’œuvre de Carlo Massoud a été exposée dans de nombreux festivals et foires du design du monde entier, notamment la Factum Gallery (Beyrouth, 2014), la Carwan Gallery (Beirut Design Week, 2014), la Southern Guild (Cape Town, 2015), The Armory Show (New York, 2015) et la Skoufa Gallery (Mykonos, 2015).